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Neuf jeunes militants nous racontent comment les changements climatiques affectent leur vie et qui les inspire dans leurs efforts pour rendre notre planète meilleure.

Pour certains, il s’agit d’un sens du devoir. Pour d’autres, d’une obligation. Et il y a ceux pour qui c’est une nécessité. Il y a deux ans, l’Organisation mondiale de la Santé qualifiait la flambée de maladie à coronavirus de pandémie mondiale.

La guerre en Ukraine fait peser une menace immédiate et grandissante sur la vie et le bien-être des 7,5 millions d’enfants présents dans le pays. Les besoins humanitaires se multiplient, s’étendant d’heure en heure. L’ intensifie ses efforts pour mener des actions essentielles à la survie des enfants et de leur famille.  

Vladislav, 2 ans, joue avec son animal en peluche au poste frontière de Palanca, en Moldavie, à la frontière entre la Moldavie et l'Ukraine, après avoir fui avec sa mère Yula. « Il a froid, trop froid », dit-elle alors qu'ils attendent de monter dans un bus pour la capitale Chishinau.

À Kyiv, en Urkaine, le personnel soignant d'une maternité pose une bâche sur des sacs de sable placés à l'intérieur des fenêtres par mesure de protection. Depuis l'escalade du conflit, les familles s'abritent sous terre, coupées des services de base.

Voici 3 exemples de soutien apporté par l’UNICEF aux enfants en Ukraine. Tous les enfants en Ukraine ont besoin de paix et doivent être protégés dès maintenant. 

Des millions d’enfants sont en déplacement. Certains sont contraints de partir de chez eux à cause d’un conflit, de la pauvreté ou des changements climatiques ; d’autres sont en quête d’une vie meilleure et plus sûre. Beaucoup trop d’entre eux sont confrontés au danger, à la détention, à la précarité et à la discrimination au cours de leur périple, à leur arrivée ou au moment du retour. Ce ne devrait pas être le cas. La souffrance des enfants migrants et déplacés, ainsi que l’exclusion dont ils sont victimes, sont non seulement inacceptables, mais aussi évitables.

Retour avec l'UNICEF sur les moments qui, en 2021, qui ont donné aux enfants de bonnes raisons de sourire

Selon le dernier rapport sur la malnutrition aiguë du Cadre intégré de classification de la sécurité alimentaire, près de 2,3 millions d'enfants de moins de cinq ans devraient souffrir de malnutrition aiguë au Yémen en 2021.