70% des vaccins contre la COVID-19 ont été distribués aux dix plus grandes économies du monde, mais les pays les plus pauvres n'en ont reçu que 0,8%. Cette inégalité n'est pas seulement injuste, elle constitue une menace pour le monde entier.
Գé
Mettre fin à la pandémie de COVID-19 : la stratégie mondiale des Nations Unies en matière de vaccins
Selon un récent rapport de l’Organisation mondiale de la Գé, près de sept millions de décès pourraient être évités d’ici à 2030 si les pays à revenu faible ou intermédiaire de la tranche inférieure augmentaient de moins d’un dollar par personne et par an leurs investissements dans la prévention et le traitement des maladies non transmissibles (MNT). Les maladies non transmissibles, dont font partie les maladies cardiaques, le diabète, le cancer et les maladies respiratoires, sont actuellement responsables de sept décès sur dix dans le monde. Pourtant, leurs répercussions dans les pays aux revenus plus faibles sont souvent sous-estimées.
L’année 2021 a été marquée par deux crises que le monde ne pouvait ignorer – la pandémie de COVID-19 et le réchauffement climatique. Des inondations sans précédent en Allemagne aux incendies incontrôlables en Californie et en Grèce, les conditions météorologiques extrêmes ont augmenté en intensité et en fréquence. Les pays riches ont accumulé les vaccins et les pays pauvres en ont été privés. Les systèmes alimentaires mondiaux ont été sous pression pour faire face à la double crise. La fracture numérique s’est accentuée et la pandémie a également mis en évidence que nous pouvons changer rapidement, mais seulement si nous disposons des ressources nécessaires et du projet adéquat.
Le Festival du film « Գé pour tous » de l'OMS vise à motiver une nouvelle génération de réalisatrices et réalisateurs innovants qui défendent les grands thèmes de la santé mondiale.
Sur l’emplacement de ce qui était auparavant l’Hôpital de Référence Communautaire de L’Asile, dans le sud-est de l’île d'Haïti, Désir Murielle se repose avec son nouveau-né dans une tente, à quelques pas des débris de métal tordu et fissuré qui étaient autrefois la maternité de l’hôpital. Le petit Yves aurait dû naître dans cette maternité aujourd’hui en ruines, s’il n’y avait pas eu ce séisme de magnitude 7,2 le 14 août dernier, qui a fait plus de 2 200 mort·e·s et 12 000 blessé·e·s, et détruit des infrastructures essentielles : hôpitaux, routes, ponts… Au cours des deux premiers mois qui ont suivi le tremblement de terre, l’UNFPA a assisté plus de 1 540 naissances dans des centres de santé ou des hôpitaux.
Les pays doivent prendre des engagements climatiques ambitieux au niveau national pour un relèvement sain, écologique et durable après la pandémie de COVID-19. Le , publié en amont de la COP26, présente les mesures de lutte contre les changements climatiques préconisées par la communauté sanitaire mondiale. Le rapport est publié en même temps qu’une , signée par plus des deux tiers du personnel de santé dans le monde, appelant les dirigeants nationaux à intensifier la lutte contre les changements climatiques.
La pandémie de COVID-19 nous rappelle brutalement que la pauvreté n'est pas seulement une question de revenus. Au sein des pays et entre eux, les communautés pauvres et marginalisées sont touchées de manière disproportionnée par la pandémie en ce qui concerne les taux d'infection, les pertes économiques, l'accès aux vaccins et d’autres impératifs de santé. Comprendre la nature multidimensionnelle de la pauvreté peut nous aider à concevoir une reprise plus résiliente qui ne laisse personne de côté. Et l' constitue un outil essentiel permettant de mesurer et de surveiller la pauvreté sous toutes ses formes.
Pour faire en sorte que tous les pays bénéficient de l’innovation en santé, l’OMS a dressé un répertoire de 24 nouvelles technologies pouvant être utilisées avec peu de ressources.
Dois-je allaiter durant la pandémie ? Puis-je transmettre la COVID-19 à mon bébé en l’allaitant ? Les spécialistes de l'UNICEF répondent à vos questions.
L’allaitement maternel offre à chaque enfant le meilleur départ possible dans la vie. Il procure des bienfaits dans les domaines de la santé, de la nutrition et des émotions, aux enfants comme aux mères. Et il est partie intégrante d’un système alimentaire durable. Mais si l’allaitement maternel est un processus naturel, il n’est pas toujours aisé. Les mères ont besoin de soutien – à la fois pour commencer l’allaitement maternel et ensuite pour persévérer. Cette semaine, alors que les pays du monde entier célèbrent la , les Nations unies appellent toutes les parties prenantes à soutenir l'allaitement maternel.
La Journée mondiale contre l’hépatite est célébrée le 28 juillet de chaque année pour faire mieux connaître l’hépatite virale, une inflammation du foie à l’origine de différentes maladies graves, dont le carcinome hépatocellulaire. Le thème de cette année est « L’hépatite ne peut plus attendre ». On ne peut plus attendre : en effet, une personne meurt toutes les 30 secondes d’une hépatite virale – même pendant la crise actuelle liée à la COVID-19. Il existe cinq souches principales du virus de l’hépatite – A, B, C, D et E. Les virus B et C sont les plus courants et entraînent 1,1 million de décès et 3 millions de nouvelles infections par an. Il est possible d’envisager un avenir sans hépatite grâce à un effort concerté. L’OMS appelle tous les pays à collaborer pour éliminer l’hépatite virale en tant que menace pour la santé publique d’ici à 2030.
23 millions d’enfants n’ont pas reçu les vaccins infantiles de base dans le cadre des services de vaccination de routine en 2020, soit 3,7 millions de plus qu’en 2019, selon les données officielles publiées aujourd’hui par l’Organisation mondiale de la Գé (OMS) et le Fonds des Nations Unies pour l’enfance (UNICEF). Cette nouvelle série de chiffres complets officiels sur la vaccination des enfants à l’échelle mondiale illustre, pour la première fois, les perturbations subies par les services de santé à l’échelle planétaire en lien avec la COVID-19. Les données montrent ainsi qu’une majorité de pays ont enregistré une baisse des taux de vaccination des enfants l’année dernière.
Le message du yoga pour promouvoir le bien-être physique et mental de l'humanité n'a jamais été aussi pertinent. Pendant la pandémie, nous observons une tendance croissante envers le yoga pour rester en bonne santé et se ressourcer, ainsi que pour lutter contre l'isolement social et la dépression. Le yoga joue également un rôle important dans la prise en charge psychosociale et la réhabilitation des patients touchés par la COVID-19 en quarantaine et en isolement. Il est particulièrement utile pour apaiser les craintes et l'anxiété. Cette année, la Journée internationale du yoga (21 juin) met l'accent sur la manière dont la pratique du yoga peut promouvoir la santé globale de chaque individu.
Les scientifiques ont mis au point des vaccins contre la COVID-19 sûrs et efficaces dans des délais beaucoup plus courts que prévu. Toutefois, ces progrès seront vains si nous ne pouvons pas faire en sorte qu’ils soient rapidement disponibles pour tous, partout dans le monde. Atteindre un tel objectif, qui oblige à conjuguer de manière efficace urgence, volonté politique, technologie, moyens financiers et capacités de fabrication, logistiques et administratives, est difficile, mais possible. Le PNUD s’est engagé à travailler en étroite collaboration avec la famille des Nations Unies et ses partenaires pour s’assurer que chaque personne reçoive un vaccin aussi rapidement que possible. C’est non seulement ce qu’il convient de faire, mais c’est aussi justifié sur le plan économique.
Une menée par l' à l'approche de la révèle que les premières règles des femmes et des filles dans les États arabes s'accompagnent souvent de peur, de honte, d'un manque d'information, voire de stigmatisation et de mauvais traitements.