Les échographes portables comblent une dangereuse carence en matière de soins de santé maternelle en République démocratique du Congo.
Interventions sanitaires
Rahama avait deux choix possibles : donner naissance à son troisième enfant en plein conflit armé qui faisait rage dans la capitale soudanaise de Khartoum ou faire ses valises et se rendre en Éthiopie. « Je pouvais accoucher à tout moment, mais j'ai regardé par la fenêtre et tout ce que je voyais, c'était de la fumée partout et des tirs d'armes à feu de tous les côtés. C'est alors que je me suis dit que mon enfant à naître et le reste de ma famille auraient peut-être de meilleures chances de survie si nous partions », raconte Rahama. À bord d'un bus bondé, la famille a entamé le long et dangereux périple vers l'Éthiopie, emportant avec elle le peu qu'elle avait réussi à emballer.
Les femmes et les filles qui vivent dans la Corne de l'Afrique sont exposées à des risques accrus. Les cas de mariages d'enfants et de mariages forcés, de mutilations génitales féminines, de viols et d'autres formes de violence ont fortement augmenté.
Au Kenya, Duncan Shikuku, formateur en soins obstétricaux, travaille non seulement pour protéger la vie des mères, mais aussi pour s'assurer que les femmes reçoivent des soins respectueux et compatissants : « Les sages-femmes sont le lien entre la grossesse et la vie dans le monde extérieur. Quoi de plus important ? »
Le rapport [RAM] fournit des preuves que l'environnement joue un rôle clé dans le développement, la transmission et la propagation de la RAM. La prévention est au cœur de l'action et l'environnement est un élément clé de la solution.
Selon un nouveau rapport de situation de l’, cinq milliards de personnes dans le monde ne sont toujours pas protégées contre les acides gras trans, substances nocives qui augmentent le risque de maladie cardiaque et de décès.
Née sans avant-bras, l'esprit enjoué de Sarah donne de la force à sa famille en proie à la crise économique. Sarah, sa mère, son père, sa sœur et ses deux frères vivent dans un simple deux-pièces sur le toit d'une cabane.
Pendant une crise humanitaire, les conditions qui érodent la capacité des femmes à exercer leur autonomie corporelle et leur choix en matière de procréation augmentent de manière catastrophique, multipliant les risques de grossesse non désirée. selon un de l'.
Ce rapport présente des résultats sur la main-d’œuvre en santé sexuelle, reproductive, maternelle, néonatale et adolescente (SSRMNA) de 194 pays. Il montre les progrès et les tendances depuis la première édition de 2011, et identifie les obstacles et les défis pour les progressions à venir. Cette analyse démontre qu'il y a une pénurie mondiale de 1,1 million de travailleurs SSRMNA, la plus grande pénurie (900 000) concernant les sages-femmes.
La COVID-19 a démontré que non seulement les virus ne connaissent pas de frontières, mais qu'ils ne font pas non plus de différence en fonction du statut d'immigration. Ne pas prendre en compte les migrants dans nos efforts de vaccination nuirait à l'efficacité de ces campagnes et rendrait difficile l’éradication de la pandémie.
Des traceurs de contacts sont recrutés, formés et déployés en urgence. Ils sont chargés d’identifier ceux qui ont été en contact avec des personnes infectées.
Encore relativement épargnées au début du mois, l’Amérique latine et les Caraïbes sont à leur tour durement frappées par la pandémie de COVID-19. Devant la montée en flèche des contaminations, les Nations Unies appuient les efforts nationaux destinés à soutenir des systèmes de santé soumis à rude épreuve et s’emploient à alléger les impacts socio-économiques sur les populations les plus vulnérables.
Le Secrétaire général de l’ONU s’est dit profondément reconnaissant envers toutes les personnes qui travaillent, 24 heures sur 24, en prenant des risques pour lutter contre les ravages de la pandémie de COVID-19, en particulier les professionnels de la santé. Pour appuyer leurs efforts sans relâche, l’ONU mise aussi sur l’innovation technologique afin de freiner la propagation du virus. Outils et applications numériques, engins robotisés, intelligence artificielle : il s’agit de mobiliser toutes les ressources, notamment celles de la communauté technologique mondiale.
Les Nations Unies et leurs agences travaillent en partenariat avec les pays pour répondre à la pandémie de COVID-19. Selon l'Organisation mondiale de la Santé (OMS), le fort soutien exprimé envers l'Afrique lors de la récente réunion des pays du G20 doit être accéléré car, même si les chiffres en Afrique sont encore relativement faibles, ils sont néanmoins en augmentation. Parmi les 47 pays de la Région Afrique de l’, près de 60% signalent des cas de COVID-19 à plusieurs endroits, notamment dans les zones rurales qui n’ont souvent pas les ressources des centres urbains.
L'Organisation mondiale de la Santé (OMS), l'agence sanitaire des Nations Unies, joue un rôle crucial dans la lutte contre la pandémie de COVID-19, depuis que les premiers cas ont été identifiés dans la ville chinoise de Wuhan en décembre. Son Directeur général, Dr. Tedros Adhanom Ghebreyesus, a présenté cinq moyens par lesquels l'agence mène la riposte mondiale : en aidant les pays à se préparer et à réagir, en fournissant des informations fiables et précises, en veillant à ce que les fournitures vitales parviennent aux travailleurs de santé, en assurant des formations et en aidant à la recherche d'un vaccin.