Les responsables publics en Afrique doivent relever trois défis immédiats : premièrement, financer les besoins de dépenses publiques supplémentaires ; deuxièmement, maîtriser la forte hausse de la dette publique ; et enfin, mobiliser davantage de recettes fiscales. La réponse que les dirigeants apporteront à ce trilemme aura des conséquences majeures sur la situation économique et sociale de leurs pays au cours des prochaines années.
Développement économique
Une finaliste du prix de la CNUCED pour les femmes d'affaires a reçu 10 millions de dollars de son gouvernement pour construire une usine de jus de fruits frais qui favorisera l'agriculture durable et améliorera le niveau de vie de sa communauté.
Le 11 mars 2020, . L’année écoulée a été mais elle a aussi été marquée par des histoires remarquables de résilience, d’ingéniosité et de créativité. Aujourd’hui, ce sont ces initiatives inspirantes que la Banque mondiale souhaite mettre en avant, en vous proposant un tour du monde en six étapes.
De nouvelles estimations révèlent une croissance économique pour 2021 plus forte que prévu, mais des problèmes persistants liés aux inégalités, à l’endettement et à l’insuffisance des investissements menacent l’espoir d'un avenir plus résilient, souligne la Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement ().
Douze mois, douze enseignements tirés de la pandémie. Le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD) nous rappelle qu’une crise est aussi une opportunité. Nous avons les capacités de prévenir les pandémies mais nous ne les utilisons pas toujours pleinement. Les objectifs de développement durable constituent le cadre dont nous avons besoin pour bâtir un avenir durable. Leur réalisation signifie réduire la pauvreté et les inégalités, tout en favorisant une croissance économique durable.
Une nouvelle publication, élaborée par le Département des affaires économiques et sociales, montre comment les gouvernements peuvent faire des économies, être plus efficaces et promouvoir la durabilité grâce à la planification à long terme des infrastructures.
Un nouveau outil de la Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement () mesure la capacité des pays à réaliser une transformation sociale et économique. Il permet aussi de suivre leur progression vers les objectifs de développement durable.
La pandémie de COVID-19 a mis à mal non seulement notre vie quotidienne, mais aussi la manière dont le Programme des Nations Unies pour le développement () travaille avec ses partenaires et vient en aide aux personnes qui en ont le plus besoin. De nombreux pays ont annoncé une forte baisse de l’aide publique au développement. Sans délai, il a fallu se réinventer pouvoir réagir avec davantage de souplesse à des problèmes mondiaux complexes et inédits. Voici comment le PNUD s’engage à renforcer et à élargir ses partenariats.
Il y a trente ans, le Programme des Nations Unies pour le développement () a créé une nouvelle façon de concevoir et de mesurer le progrès. Au lieu d’utiliser la croissance du Produit Intérieur Brut (PIB) comme seul indicateur de développement, il a classé les pays selon de leur niveau de développement humain : en fonction des libertés et des possibilités dont jouissent les habitants de chacun d’entre eux pour vivre une vie riche de sens. Le conforte l’idée que la capacité d’agir et l’autonomisation des individus sont autant de clés qui enclencheront les transformations nécessaires pour vivre en équilibre avec la planète dans un monde plus équitable.
Bien que le riz reste incontestablement la culture la plus importante en République démocratique populaire lao, le gouvernement a mis la production durable de maïs au cœur de sa stratégie de développement socio-économique. Situé entre la Chine, la Thaïlande et le Vietnam, le Laos est idéalement placée pour tirer profit du commerce régional. Sur ce constat, une de la Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement () jette un nouvel éclairage sur la chaîne de valeur du maïs dans ce pays enclavé.
Les inégalités et les vulnérabilités risquent de s'aggraver longtemps après qu'un vaccin soit disponible. La Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement (CNUCED) propose une feuille de route pour une reprise plus inclusive et de meilleure qualité.
Les perturbations économiques et sociales engendrées par la COVID-19 s’intensifient. Les pertes d'emplois massives, les faillites, la contraction du PIB, les difficultés des petites entreprises, les changements de comportement des consommateurs et du public deviendront plus manifestes à mesure que la pandémie continue. Nous ne pouvons plus suivre les anciennes règles, et des choix difficiles nous attendent. La prochaine phase de la réponse du Programme des Nations Unies pour le développement () sera d’aider les décideurs à mettre en œuvre des changements fondamentaux pour assurer une transition juste et équitable vers une économie propre en repensant la gouvernance et la protection sociale et en favorisant la disruption numérique.
Alors que la pandémie de COVID-19 et la crise économique continuent de s’étendre, les envois de fonds des travailleurs migrants vers leurs pays d’origine devraient reculer de 14 % d’ici à 2021 par rapport aux niveaux d’avant la pandémie en 2019, selon les dernières estimations de la note d’information de la Banque mondiale sur les migrations et le développement.
Face à une récession mondiale profonde associée à une pandémie encore incontrôlée, le monde a besoin d'un plan de relance global qui puisse mettre les pays, y compris les plus vulnérables, dans une situation plus favorable que celle qui prévalait avant la COVID-19. C’est le message du de la Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement (CNUCED).
La Journée mondiale du tourisme (27 septembre) mettra en avant le rôle incomparable du tourisme pour offrir des débouchés en dehors des grandes villes et pour préserver le patrimoine.